Michel Clavel nous apprend qu’à la Louve, une épicerie solidaire, l’on devient membre et accède aux produits qui y sont distribués sous condition. La condition est d’y consacrer 4 heures par mois, en binôme. Cela fait penser aux matinées mensuelles à Kigali (voir la matinée pour le collectif)
Ce que j’aime dans cette pratique :
- la simplicité du deal : 4h à 2 – le plein de topinambours
- le côté exclusif. Sans ça, tu n’auras pas tes topinambours.
- l’ouverture : l’activité n’est pas décrite, juste le temps
- la connexion : en binôme à porter des cageots ou à faire la caisse, on se découvre forcément
- le binôme, il y’en aura au moins un qui s’y connait
Ce que nous pourrions imaginer :
- changer de partenaire à chaque fois
- se poser la question dans l’autre sens : pour 8h par mois, qu’attendrais-tu d’un collectif ?