Merci Nico à qui l’on doit ceci : « On nous apprend que dans la sociocratie, un projet soumis à décision peut faire l’objet d’objections, qui sont à considérer comme un cadeau, au sens où c’est une bonne occasion d’éviter une bourde plus tard : s’il y a une objection elle est forcément un trou dans la raquette, et par conséquent une bonne occasion d’améliorer le design
ce que ça m’inspire :
– merci de m’avoir dit que tu me trouvais relou, ça me permet de me demander comment l’être moins »
ce à quoi j’ajouterai cela :
En vente on dit que quelqu’un qui émet une objection est entré dans le processus de vente. Les plus hardis diront que « c’est bon il est cuit » car ils estiment qu’il vient de donner la condition de son accord.
Ce qu’on pourrait imaginer :
- Si vous avez une objection, importante et raisonnable, vous ne pouvez l’émettre qu’associée à une demande d’aide pour la résoudre.
- On pourrait former les participants à distinguer les objections importantes et raisonnables / les émotions qui doivent sortir / les idées cachées sous forme de questions / les bouffées créatives inutiles mais sympa / les bouffées d’ego. Ce serait comme les jeux dans les foires dans lesquels on tape avec un marteau sur la tête d’une bestiole qui sort d’un trou.