Ce matin je croise ce travailleur dont la tâche lui fait faire des étincelles.
Ce que j’aime dans cette pratique :
- c’est le contact entre l’outil – main de l’artisan et la matière qui fait des étincelles, on pourrait presque y voir une formule poétique du travail : la victoire de l’esprit sur la matière (un peu décalée si on pense à la tâche répétitive et ennuyeuse dont il est question en fait)
- le côté spectaculaire du geste, qui , dans la nuit, produit une mini féérie
- le côté hypnotique du geste, qui attire le regard
Ce que ça m’inspire :
- des questions :
- quand avez-vous l’impression que votre intention fait des étincelles ?
- quels sont les gestes qui, dans l’exercice de votre métier, vous fascinent comme au premier jour ?
- encore des questions :
- quand vous arrive t’il d’admirer vos propres gestes dans l’exercice de votre métier ?